La Maison de la Canne vous montre aussi comment la soudaine concurrence du sucre de betterave produit en métropole, du sucre des nouvelles colonies d’Asie et d’Afrique, l’apparition au milieu du XIXème siècle des premières machines à vapeur, et la fin de l’esclavage proclamée en 1848, ont profondément bouleversé l’économie sucrière martiniquaise. Pour survivre, les habitations dont les méthodes de production n’ont quasiment pas évolué depuis le XVIIème, doivent faire face à de lourds investissements pour passer à une phase industrielle. Il faut produire plus et moins cher.