Quelles sont les évolutions matérielles au sein de la distillerie, qui ont marqué les étapes des Rhums Damoiseau ?
Quand j’ai commencé, la cour à canne était en terre, et nous ne pesions que des charrettes. Nous passions environ 50 tonnes par jour, les beaux jours. La chaîne à canne était enterrée, pour un déversement à la main. Il y avait deux moulins entraînés par une machine à vapeur, des pompes à jus Burton (également à vapeur), le folklore … mais les anciens travaillaient et avaient surtout du courage.